La Chine va arrêter de collecter des organes des prisonniers qu'elle exécute

L'article: http://www.slate.fr/story/95437/chine-collecter-organes-prisonniers

http://www.slate.fr/sites/default/files/imagecache/1090x500/organes-transplantation.jpg

Ma Réponse: Cet article s'agit du don d'organes en Chine. Spécifiquement, l'article parle de sa procédure de prélever des organes des prisonniers exécutés. Grâce au travail des organisations de défense des droits de l'homme, cette pratique sera illégale à partir du le 1 Janvier, 2015. Cependant, jusqu'à il y a un mois, 54% des dons d'organes en Chine venaient des prisonniers condamnés à mort.

Il est évident que le premier problème qu'il faut qu'on s'adresse est le nombre élevé d'exécutions en Chine chaque année. A mon avis, la peine de mort est une grande violation des droits de l'homme, même sans prendre les organes des gens exécutés. Même si je crois que tout le monde devrait être donneur d'organes, je ne crois pas qu'on ait le droit de prendre les organes sans la permission de la personne décédée.

Il me semble qu'utiliser les prisonniers comme source d'organes est une façon de les déshumaniser. Je comprends qu'il y a toujours beaucoup de gens qui attendent une greffe d'organe. Un organe d'un prisonnier--qui sera mort qu'il perd ses organes ou non--pourrait sauver la vie d'une personne gravement malade. Je ne veux pas dire que les gens qui ont besoin d'un organe devraient mourir juste pour préserver l'humanité de la personne exécutée. Cependant, je crois qu'il existe d'autres moyens pour obtenir les organes, sans violer les droits des prisonniers.

Par exemple, le gouvernement chinois pourrait essayer de changer les attitudes culturelles de ses citoyens concernant le don d'organes. Il faut beaucoup de temps pour changer la culture du pays; cela ne veut pas dire qu'on ne devrait pas essayer de la changer, mais plutôt que le gouvernement devrait lancer une campagne aussitôt que possible. Il pourrait utiliser les médias pour partager des histoires des gens dont les vies ont été sauvées grâce aux dons d'organes. Si les gens voient combien de gens ont besoin de dons d'organes, je crois qu'ils seraient plus ouverts à l'idée d'être donneur d'organe.

http://inplacenews.files.wordpress.com/2008/06/mulecreek_071906v1.jpg

Cet article suggère un autre problème peut être même plus pressant: la façon dont on traite les prisonniers. Cela n'est pas un problème qu'en Chine, mais aussi dans les systèmes pénitentiaires de beaucoup d'autres pays, les Etats-Unis inclus. On essaie de les déshumaniser; on ne leur donne ni d'aliments nutritifs ni soins de santé suffisante. On a la responsabilité de prendre soin de tous nos citoyens, peu importe qu'ils soient prisonniers ou pas. Si on ne prend pas soin des prisonniers, on enlève leur chance de réhabilitation, ce qui devrait être, selon moi, l'objectif principal du système pénitentiaire dans tous les pays.

L'éducation sexuelle de retour à l'école

L'article: http://www.lapresse.ca/actualites/education/201411/06/01-4816619-leducation-a-la-sexualite-de-retour-a-lecole.php

Ma Réponse:

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Cet article parle de l'éducation sexuelle à Québec. Depuis des années, elle n'est pas obligatoire dans les écoles primaires et secondaires de Québec. Maintenant, la Commission Parlementaire de la Culture et de l'Education met sur pied un plan-pilote dont le but est de réintégrer l'éducation à la sexualité dans des matières existantes des écoles primaires et secondaires. Si le gouvernement met ce plan à l'action, l'éducation à la sexualité redeviendrait obligatoire dans les écoles de Québec.

Beaucoup de sociétés, même des sociétés où l'éducation sexuelle est obligatoire à l'école, font que la sexualité deviennent un sujet dont les gens ont honte de parler. A un très jeune âge, les enfants apprennent à cacher leur sexualité et à ne pas poser des questions sur ce sujet tabou. Selon moi, il n'est ni logique ni naturel de réprimer ces sentiments et ces questions si universelles.

L'opposition à l'éducation à la sexualité vient souvent des parents des étudiants. Pour moi, cela montre la raison pour laquelle les enfants devraient apprendre sur la sexualité à l'école; beaucoup d'enfants--probablement la plupart des enfants--n'auraient pas d'éducation sexuelle suffisante sans apprendre sur ce sujet à l'école. L'école devrait être un endroit où les enfants n'ont pas peur de poser n'importe quelle question et sans avoir peur d'être jugé ou réprimandé pour ces questions.

En plus de rendre ce sujet moins tabou, l'éducation sexuelle obligatoire à l'école apprend aux enfants à avoir une bonne santé sexuelle plus tard dans leur vie. Sans cette éducation, beaucoup d'étudiants ne sauraient pas comment se protéger des maladies sexuellement transmissibles. De plus, l'éducation sexuelle donne aux enfants une meilleure compréhension de leur corps. Il faut bien connaitre son corps pour avoir un bon développement physique et mentale. Les gens qui connaissent bien les besoins de leurs corps sont plus sains et ont plus de confiance que les gens qui ont honte de leur corps et leur sexualité.

Le sujet de l'éducation à la sexualité sera toujours un sujet à controverse à cause des conflits entre la religion et les sciences. Les gens des deux côtés du débat croient fermement en leurs points de vue. A mon avis, la sexualité est quelque chose de naturel dont on ne devrait pas avoir peur. Embrasser l'éducation sexuelle constitue un pas vers une société plus saine et libérée.

Un milliard de personnes dans le monde vivent encore sans toilettes

L'article: http://www.leparisien.fr/societe/un-milliard-de-personnes-dans-le-monde-vivent-encore-sans-toilettes-19-11-2014-4304267.php

Ma Réponse: Cet article parle du manque de toilettes dans le monde, un problème qui est plus important qu'on le croit. L'article dit que, en ce moment, il y a un milliard de personnes dans le monde qui vivent sans toilettes sanitaires. Sans les toilettes sanitaires, beaucoup de gens, particulièrement dans les pays en voie de développement, doivent aller aux toilettes dans la nature. Cela peut mener aux maladies fatales, puisque beaucoup de maladies, par exemple Ebola, se propagent par les fluides corporels.

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Beaucoup de gens croient qu'on devrait se concentrer sur le manque de nourriture et d'eau dans les pays en voie de développement avant de s'adresser au problème des toilettes. Cependant, on doit se rendre compte que tous ces problèmes sont liés à d'autres. On ne peut pas résoudre des problèmes individuellement à cause de cela. Je comprends qu'il est difficile pour les gens de penser aux toilettes sanitaires, qui utilisent beaucoup d'eau, quand ils n'ont même pas assez d'eau potable. Néanmoins, puisque les gens vont aux toilettes dehors, sans aucun moyen de se débarrasser des excrements, les matières fécales contaminent l'eau qu'ils boivent et continuent à propager les maladies.

Le seul moyen de ne pas aller aux toilettes dans la nature--de n'y pas aller du tout--a aussi des grands inconvénients. Cela mène au développement des infections de la vessie et à d'autres problèmes de la santé. Dans beaucoup de pays sans toilettes sanitaires, les gens doivent marcher pendant des kilomètres pour trouver un endroit acceptable pour se soulager. Il est considéré inacceptable d'aller aux toilettes dans le village. La plupart des gens n'ont ni le temps ni l'énergie pendant la journée de marcher si loin, alors ils n'y vont pas de la journée.

A mon avis, la question du manque de toilettes dans le monde est un problème dont on ne parle pas assez. On entend toujours parlé des problèmes d'eau potable, mais jamais des problèmes qui y sont reliés. Je comprends que les pays sous développés n'ont pas l'argent pour mettre les toilettes sanitaires dans chaque maison. Je crois que les Etats-Unis et les autres pays développés devraient prendre une partie de la responsabilité et essayer de travailler avec les autres gouvernements pour adresser ce problème sérieux. Aucun problème de ce genre n'est facilement corrigé, mais si on peut commencer avec une toilette sanitaire par village ou en mettant des toilettes dans les écoles--qui serait aussi une encouragement à l'éducation--on pourrait voir comment nos efforts de résoudre un seul problème peuvent influer positivement sur d'autres problèmes qui s'y rattachent.

http://www.youtube.com/watch?v=ThMZb3lPuR8

Vers une médecine préventive et personnalisée

L'article: http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/11/03/vers-une-medecine-preventive-et-personnalisee_4517319_1651302.html?xtmc=soins_de_sante&xtcr=2

Ma réponse: Cet article parle de l'avenir de la médecine et des soins de santé. La médecine devient de plus en plus personnalisée. Les ordinateurs et les nouvelles technologies jouent un grand rôle dans cette personnalisation. De plus, les systèmes de santé, particulièrement aux Etats-Unis et en France, deviennent de plus en plus préventifs au lieu des systèmes plutôt curatifs du passé.

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Les médecins d'aujourd'hui n'utilisent plus les ordinateurs que pour organiser les dossiers des patients. Les ordinateurs sont en train de devenir des consultants médicaux; maintenant, les ordinateurs font de la recherche, diagnostiquent les patients et même suggèrent de meilleurs traitements. Les ordinateurs rendent la médecine plus personnalisé en trouvant les recherches et traitements les plus pertinents pour chaque patient.

Je crois que les ordinateurs sont très utiles et devraient être utilisés pour des taches qu'ils peuvent faire plus vite que les médecins, par exemple trouver des recherches les plus pertinentes à un patient. Cependant, il me semble qu'en donnant des diagnostiques et des traitements, les ordinateurs font un peu trop le travail du médecin. Je crains que les médecins commenceront à trop compter sur les ordinateurs pour faire leur travail. Si un médecin compte sur l'ordinateur de leur donner un diagnostique et un traitement, il ne saura pas quoi faire si un jour l'ordinateur tombe en panne. A mon avis, les connaissances des médecins et des ordinateurs devraient travailler ensemble pour obtenir le système médical le plus efficace, fiable et personnalisé.

Les améliorations dans le domaine de la médecine mentionnées dans l'article sont sans doute encourageantes, mais il faut se rendre compte qu'en même temps qu'on améliore notre système de santé déjà assez moderne, il y a des pays qui luttent pour trouver des médecins et distribuer les médicaments. Ces pays n'ont même pas d'ordinateurs, sans parler de technologie modernisée. Même si on devrait toujours essayer d'améliorer notre système, on ne devrait pas oublier de partager nos connaissances, technologies et médicaments avec les pays moins chanceux.

Euthanasie : Nicole Boucheton exilée en Suisse pour mourir «dignement»

L'article: http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/euthanasie-nicole-boucheton-exilee-en-suisse-pour-mourir-dignement-15-08-2014-4066659.php

Ma réponse: Cet article parle d'une femme qui s'appelle Nicole Boucheton, qui est vice-présidente de l'Association pour le droit à mourir. Elle souffre depuis longtemps d'un cancer du rectum. Les médecins ont dit que le seul traitement serait la chirurgie et elle dit que cela "me condamnait à une vie dans des conditions que je juge... dégradées et inacceptables." Maintenant, elle s'est exilée en Suisse pour pouvoir mourir par l'euthanasie.

http://img.over-blog-kiwi.com/0/93/14/92/20140808/ob_d49135_boucheton10520627.Jpg

Je trouve cette histoire très intéressante parce que cette femme est en train d'agir sur ses paroles en ce qui concerne l'euthanasie. Quand on soutient des causes comme ça, on ne sait pas ce qu'on ferait si on était en phase terminale. Cela ne veut pas dire qu'elle serait hypocrite si elle avait choisi la chirurgie ; cependant, le fait qu'elle mette ses paroles à l'action souligne l'importance d'accroître les connaissances du public sur la question de l'euthanasie et le suicide assisté.

La question du suicide assisté est une question très controversée. A mon avis, les gens qui sont tout à fait contre l'euthanasie devraient essayer de voir la perspective de quelqu'un en phase terminale, qui ne peut rien faire sauf attendre la mort. Dans ces cas, conserver son dignité est la chose la plus importante pour la personne. Ils n'avaient aucun contrôle sur leur maladie, alors choisir la façon dont ils meurent leur donnent une dernière impression d'avoir un peu de contrôle; même s'ils n'avaient pas de contrôle sur leur vie, cela donne probablement du confort de pouvoir choisir une mort digne.

Tandis que je comprends la perspective de quelqu'un qui veut mourir par suicide assisté, je comprends aussi les arguments de ceux qui sont contre ce cause. On entend parlé toujours des gens à qui les médecins n'ont donné qu'une année à vivre, mais qui vivent dix années de plus. Dans ces cas, ça fait peur de penser que cette personne aurait pu mourir par suicide assisté juste pour vaincre la mort.

A mon avis, le suicide assisté devrait être légal, mais devrait être toujours le dernier recours. La décision de mourir par l'euthanasie est une décision complètement personnelle; les gens devraient avoir le choix de l'euthanasie sans devoir partir dans un autre pays et sans devoir être riche. Il faut respecter le choix des gens qui choisissent l'euthanasie et comprendre qu'on ne peut pas comprendre leur perspective sans être dans leur situation.

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Un père en grève de la faim pour les soins de son fils paralysé par la foudre

L'article: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/10/08/01016-20141008ARTFIG00230-un-pere-en-greve-de-la-faim-pour-les-soins-de-son-fils-paralyse-par-la-foudre.php

http://www.lefigaro.fr/medias/2014/10/08/PHO7adeeab6-4ec6-11e4-a703-fd9bb4ff5432-805x453.jpg

Ma réponse: Cet article raconte l'histoire d'un homme qui est en train de faire une grève de la faim pour que son fils handicapé reçoive plus de soins de santé du gouvernement français. Son fils a été frappé par la foudre il y a sept ans. Le père fait une grève de la faim depuis 31 jours; la seule réponse des autorités médicales est que les demandes du père ne sont pas réalistes et peuvent en fait être dangereux pour son fils. Il me semble que cet article donne les perspectives des deux côtés de l'argument, alors ce n'est pas très biaisé.

Je crois que la spécialisation des soins de santé pour chaque cas différent devrait être la décision des médecins, pas des parents. Cependant, je trouve que ce père s'adresse à un problème important dans la France: comment améliorer les soins de santé pour les personnes handicapées.

http://www.mutualite.fr/var/fw_site_mutualite/storage/images/contenu/l-actualite/soins/handicap-organiser-la-formation-des-professionnels-de-sante/133178-1-fre-FR/Handicap-organiser-la-formation-des-professionnels-de-sante.jpg

Quand on pense aux soins de santé, on a l'habitude d'oublier les soins de santé pour les handicapés. En Europe, on ne voit presque jamais les gens handicapés en public. Ce n'était pas jusqu'à ce que je sois revenue aux Etats-Unis que je me suis rendue compte de l'absence des gens handicapés en public en France. De plus, le transport et les lieux publiques ne sont pas adaptés pour les personnes à mobilité réduite. Cela est un problème qu'il faut qu'on s'adresse. A cause du manque de visibilité pour les gens handicapés, les soins de santé ne sont pas du tout adaptés à eux.

A mon avis, déterminer des soins de santé spécialisés est une tâche très difficile. Comme le mot "spécialisé" implique, les soins de santé doivent être adaptés différemment pour chaque personne handicapée. En France, où il y a un système de soins de santé universel, faire ces adaptions est difficile. Aux Etats-Unis, où la plupart des gens ont des soins de santé privé, il est peut-être plus facile de spécialiser les soins de santé aux besoins des gens handicapés. Cependant, dans un système privé, il est plus difficile pour les gens pauvres, dont beaucoup sont handicapés, d'obtenir les soins de santé.

Selon moi, premièrement, il faut augmenter la visibilité des gens handicapés en France si on veut améliorer leurs soins de santé. Cela augmenterait le soutient pour ces gens et peut-être motiverait le gouvernement à concentrer plus de temps et plus d'argent sur les soins de santé spécialisés pour les gens handicapés.

Un début de prévention du suicide des jeunes

L'article: http://www.lemonde.fr/sciences/article/2014/09/08/un-debut-de-prevention-du-suicide-des-jeunes_4484050_1650684.html?xtmc=sante_mental&xtcr=9

http://www.santelog.com/uploaded3/images/Actus%2020/SCHEMA%20SUICIDES.jpg

Ma réponse: Cet article parle du problème du suicide, particulièrement chez les jeunes en France. L'article dit que, depuis des dernières années, le nombre de suicides en France descend grâce aux nouvelles actions de prévention introduites.

L'article a un ton positif, en parlant des nouvelles interventions pour aider les jeunes à risque de suicide. Je suis d'accord qu'on devrait parler des actions de prévention qui réussissent à réduire le nombre de suicides chez les jeunes. Cependant, je trouve que cet article néglige le fait qu'on a encore un long chemin à parcourir par rapport aux suicides en France et dans le reste du monde. Mis à part le titre, il est possible de lire l'article et penser qu'on n'a presque plus à faire dans la lutte contre le suicide. A mon avis, l'article encourage l'autocongratulation à la place de l'autocritique. Malgré qu'on devrait féliciter les progrès, sans les critiques on ne peut pas faire plus de progrès dans la réduction des taux de suicide. Cela est vrai pour tous les problèmes du monde: si on arrêt de faire des critiques de la société, on ne fait plus de progrès.

http://img829.imageshack.us/img829/3927/istock000013468835xsmal.jpg

Le suicide est un problème qu'on a l'habitude d'ignorer. C'est un sujet "tabou" comme l'article dit. Je crois que le suicide fait peur et à cause de cela on essaie de faire semblant qu'il n'existe pas ou qu'il ne nous touche pas. En faisant cela, on entre dans une zone dangereuse. Les gens cachent leurs pensées suicidaires à cause de la stigmatisation qui entoure le suicide; lorsqu'ils cachent ces pensées, les pensées deviennent insurmontables. Il faut qu'on lutte contre cette stigmatisation; il faut encourager les gens à parler à quelqu'un s'ils ont les pensées suicidaires. De plus, il faut enseigner à tout le monde comment parler à quelqu'un suicidaire; cela est le but de quelques des organisations mentionnées dans l'article.

Selon moi, de la même façon qu'on apprend sur les soins de santé psychiques à l'école, on devrait aussi apprendre sur les soins de santé mentales. Comme ça on pourrait déstigmatiser le suicide et des autres maladies mentales. Les maladies mentales sont aussi dangereuses que les maladies physiques et devraient recevoir autant de soutient et de d'aide. De plus, les gens ne devraient pas devoir payer pour l'aide psychiatrique; je crois que les soins de santé psychiatriques devraient être accessibles à tout le monde, puisqu'ils sont un droit humain.